sous
l'OMBRELLE
Une création de/avec
François Chaignaud et Jérôme Marin
Accompagnés par
Antoine Bernollin (piano) – Fred Ferrand (accordéon) – Adrien Chennebault (percussions)
François Chaignaud et Jérôme Marin
Accompagnés par
Antoine Bernollin (piano) – Fred Ferrand (accordéon) – Adrien Chennebault (percussions)
Production : Scène Nationale d'Orléans
Coproduction : Ménagerie de Verre (Paris), Vlovajob pru, Compagnie de l'Eau qui dort
Coproduction : Ménagerie de Verre (Paris), Vlovajob pru, Compagnie de l'Eau qui dort
Lien vers une vidéo extraite du spectacle "Le Petit Chien"
Lien vers un reportage audio dans le cadre de la représentation lors du festival Ecoute Voir à Tours en janvier 2015
Les bouches emplies de mélodies légères, de couplets terribles et d’airs oubliés, François Chaignaud et Jérôme Marin, accompagnés de trois musiciens, s’affrontent dans un catch antique de filles-fleurs. Dévorant le répertoire de la chanson des années 20 et 30, ils intoxiquent leurs corps de l’incandescence troublante de ces chants d’amour révolus dont le charme embarrassant vient illuminer notre présent, ses angles morts et ses espérances.
A partir d’airs de Suzy Solidor,Yvette Guilbert, Nita Jo, Elyane Celis, Jacques Offenbach, etc. ils composent un instant de spectacle faussement innocent, léger et amusant, fantaisiste et exubérant.
A partir d’airs de Suzy Solidor,Yvette Guilbert, Nita Jo, Elyane Celis, Jacques Offenbach, etc. ils composent un instant de spectacle faussement innocent, léger et amusant, fantaisiste et exubérant.
Lien vers la critique de Sarah Elghazi (« Sous l’ombrelle », de François Chaignaud et Jérôme Marin, Latitudes contemporaines, Maison Folie Wazemmes à Lille)
Extrait de presse Sarah Elhazi :
" Chansons d’amour et de haine, répertoire de l’éternel féminin que ces deux hommes s’arrachent, le cabaret fantasmé et féerique de Chaignaud et Marin bouscule le genre, et propose à la place une véritable performance des corps, des voix et des identités empruntant dans un joyeux pêle-mêle à l’histoire de la danse ; costumes qui se mangent, danses des voiles, on croirait parfois revoir fugacement le Nijinski du Faune ou Isadora Duncan, avec une légèreté qui ne vient pas du souvenir.
Cette entreprise n’aurait pas de sens sans ses interprètes : l’association évidente entre ces deux explosives personnalités fait le cœur du spectacle. François Chaignaud est aérien, ironique et sensuel, sa voix et son corps montent et dégringolent toute la gamme ; Jérôme Marin, physique plus terrien et émouvant, yeux de doux rêveur, chante jusqu’à d’incroyables hauteurs.
Deux oiseaux flamboyants qui se livrent à une généreuse parade d’amour, parodique et sincère, tendre et folle."
Extrait de presse Sarah Elhazi :
" Chansons d’amour et de haine, répertoire de l’éternel féminin que ces deux hommes s’arrachent, le cabaret fantasmé et féerique de Chaignaud et Marin bouscule le genre, et propose à la place une véritable performance des corps, des voix et des identités empruntant dans un joyeux pêle-mêle à l’histoire de la danse ; costumes qui se mangent, danses des voiles, on croirait parfois revoir fugacement le Nijinski du Faune ou Isadora Duncan, avec une légèreté qui ne vient pas du souvenir.
Cette entreprise n’aurait pas de sens sans ses interprètes : l’association évidente entre ces deux explosives personnalités fait le cœur du spectacle. François Chaignaud est aérien, ironique et sensuel, sa voix et son corps montent et dégringolent toute la gamme ; Jérôme Marin, physique plus terrien et émouvant, yeux de doux rêveur, chante jusqu’à d’incroyables hauteurs.
Deux oiseaux flamboyants qui se livrent à une généreuse parade d’amour, parodique et sincère, tendre et folle."